La levée des sanctions sur des personnalités burundaises accusées dans différentes formes de crimes est une façon de promouvoir l’impunité. C’est ce qu’indique l’Initiative des droits humains au Burundi. Carina Tertsakian, chercheure au sein de l’IDHB, prévient l’Union Européenne que cela risque d’encourager d’autres pays qui ne respectent pas les droits humains. Elle le dit au moment où ce mardi l’Union européenne a annoncé avoir levé les sanctions qu’elle avait prises à l’endroit de trois Burundais, dont l’actuel Premier ministre Gervais Ndirakobuca, soupçonnés d’avoir trempé dans la perturbation de la sécurité et des droits humains.
Droits humains
26 octobre 2022