Du côté de l’association AC-Génocide Cirimoso, aucune institution, association ou groupe, n’est compétente pour qualifier de génocide les crimes commis à certains moments. Pour Térence Mushano, vice-président de cette association, il faut plutôt impliquer les gens neutres dans les enquêtes pour établir les responsabilités. Selon lui, les burundais arriveront à cette réconciliation une fois que le processus d’enquête suivra le cours normal.
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4 novembre 2021