Le directeur général des affaires pénitentiaires est appelé à respecter la loi, et de ne plus persécuter la journaliste Floriane Irangabiye et le directeur de la prison de Bubanza. C’est un appel du mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité. Marie Louise Baricako, présidente de ce mouvement, le dit suite à des propos peu rassurants utilisés par Pierre Claver Miburo à l’endroit de ces deux personnes, ainsi que d’autres discours diffamants de membres du personnel de la direction générale des affaires pénitentiaires à l’encontre des deux mêmes personnes. Elle demande que les droits de Floriane Irangabiye soient intégralement respectés en tant que personne humaine.

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