Le gouvernement du Burundi persiste et signe. Il ne peut pas s’asseoir avec ceux qu’ils accusent d’avoir tenté de renverser les institutions en 2015. Albert Shingiro, le chef de la diplomatie burundaise, l’a déclaré jeudi au cours d’une réunion avec les ambassadeurs accrédités au Burundi. Albert Shingiro indique que l’attitude de la délégation burundaise au Conseil des nations unies des droits de l’homme est soutenue par le pouvoir.

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