Droits humains
7 février 2024

Ndayishimiye doit rouvrir les frontières pour cesser de faire souffrir les Burundais (Inamahoro)

La mesure de fermer les frontières n’affecte pas celui pour qui elle a été prise en prétendant le sanctionner. Ce sont les citoyens des deux pays qui en souffrent, particulièrement ceux qui vivent sur les frontières qui vivent des échanges commerciaux qu’ils effectuaient entre eux. C’est le constat du mouvement Inamahoro. Dans une correspondance que ce mouvement a adressée au président Evariste Ndayishimiye, il demande que ces frontières soient rouvertes. Pour Marie Louise Baricako, présidente de ce mouvement, les conséquences de cette mesure de fermeture n’affectent pas que les deux pays, mais aussi toute la sous-région.