Le Burundi dispose d’un potentiel hydrographique suffisant mais mal exploité. C’est un constat de l’ONG locale PARCEM. C’est à l’occasion de ce 22 mars, Journée internationale de l’eau. Faustin Ndikumana, directeur national de la PARCEM, appelle le gouvernement à redoubler d’efforts dans la coordination de la gestion de l’eau pour qu’elle soit plus rentable. Il demande également de réinstaurer le ministère de l’Eau et de l’environnement.
Environnement
23 mars 2024