Les propos tenus par le président de l’assemblée nationale du Burundi Gélase Ndabirabe, lors de la session parlementaire de Mercredi de la semaine dernière quand il a osé accuser publiquement les anciens prisonniers d’être les auteurs des attaques à la grenade, sont honteux selon Pierre Claver Mbonimpa, président de l’APRODH. Il considère que le président de l’assemblée nationale voulait appeler les Imbonerakure à faire une chasse aux sorcières pour toute personne libérée par la mesure de grâce présidentielle.
Droits humains
31 mai 2021