Des mauvais traitements comme celui que subit actuellement la journaliste Floriane Irangabiye constituent des actes d’intimidation qui empêchent les femmes de participer activement dans la vie sociopolitique du pays. C’est le triste constat de Marie Louise Baricako, présidente du Mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité. Pour elle, il est plus que temps que les femmes prennent conscience de leurs droits, dont celui d’exprimer leur opinion, et de se battre pour qu’ils soient respectés, pour le bien du pays.
Droits humains
19 octobre 2022