L’emprisonnement arbitraire des défenseurs des droits de l’homme ternit l’image d’un pays. Propos de Marie Louise Baricako, présidente du Mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité. Elle demande au président de la République d’exiger la libération des 5 défenseurs des droits de l’homme arrêtés mardi dernier par le Service national des renseignements. Marie Louise Baricako estime que la justice peut les faire comparaître sans toutefois violer la loi.
Droits humains
16 février 2023