Droits humains
21 septembre 2023

Le retour de la paix incombe à tout Burundais, surtout aux autorités, appel du mouvement Inamahoro

Les crimes graves qui se commettent au quotidien au Burundi montrent que la paix est encore une chimère. C’est un constat du mouvement Inamahoro qui le dit à l’occasion de la Journée internationale de la paix célébrée le 21 septembre. Les femmes et filles qui militent pour la paix et la sécurité donnent des exemples de ces crimes ignobles, mais elles démontrent également comment la Commission vérité et réconciliation s’active dans la division des Burundais, de même qu’aujourd’hui cette CVR pousse jusqu’à monter les Burundais contre des pays voisins. Selon Marie Louise Baricako, présidente de ce mouvement, les autorités du pays devraient œuvrer dans le vrai sens de ramener la paix, comme elles n’arrêtent pas de le chanter dans leurs discours. Le même appel est lancé à tous les Burundais, car pour ce mouvement, chacun a le pouvoir de contribuer à ce retour de la paix.