Détruire les champs des réfugiés et les empêcher d’aller au marché sont des actes contraires au droit international régissant les réfugiés. Réaction de Marie Louise Baricako, présidente du Mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité, après la destruction des champs des réfugiés burundais du camp de Nyarugusu en Tanzanie la semaine dernière. Marie Louise Baricako demande au Haut-commissariat pour les réfugiés de suivre de près la question des réfugiés burundais vivant en Tanzanie pour assurer leur protection.