Le parti Congrès National pour la Liberté déplore les arrestations en cascade qui visent surtout ses membres et les anciens forces armées du Burundi dans les provinces de Muramvya et Mwaro. Aimé Magera, qui représente ce parti en Europe, dénonce que ces arrestations sont opérées pendant la nuit par des membres de la milice Imbonerakure. Il demande au parti au pouvoir de respecter ceux d’autres formations politiques parce que tôt ou tard, il finira par répondre de ses actes.