Le gouvernement du Burundi ne devrait pas supprimer l’institution des Bashingantahe. Analyse de Marie Louise Baricako, présidente du Mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité . Selon elle, cette institution était le fondement-même de la société burundaise. La supprimer signifie amputer à la culture burundaise l’une de ses valeurs fondamentales.
Journal
16 septembre 2022