Amakuru
29 novembre 2021

La paix chantée par les autorités burundaises est loin d’être une réalité

On ne peut pas chanter que la paix règne au Burundi tant qu’il y a des milliers de Burundais en exil, qu’il y a des disparitions forcées. C’est le constat de Marie Louise Baricako, présidente du mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité. Elle fait ce constat à la suite du discours du président Evariste Ndayishimiye lors de la clôture du Flambeau de la paix. Marie Louise Baricako trouve plutôt qu’Evariste Ndayishimiye ne devrait pas affirmer qu’il y a la paix tant qu’il y a des discriminations liées à l’appartenance ethnique et politique.