Du côté des médias burundais, Antoine Kaburahe, fondateur du groupe de presse Iwacu, estime que l’Accord d’Arusha avait permis un dialogue entre les protagonistes burundais pour alléger la souffrance de la population. De cet accord, le climat politique s’est amélioré, ce qui a rendu l’exercice du métier de journalisme possible dans des conditions acceptables pendant un moment.
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2 septembre 2021