Les femmes burundaises éprouvent beaucoup de difficultés pour atteindre leur autonomie financière. Cela est dû principalement au non-accès à la propriété qui servirait de garantie pour demander ne fût-ce qu’un crédit à la banque. Cependant, la femme burundaise reste le pilier du développement national en général, et de la famille en particulier. Marie Louise Baricako, présidente du mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité, interpelle le gouvernent afin qu’il mette en place une politique qui met en avant la femme comme cela est le cas dans d’autres pays qui ont atteint un développement durable.
Droits humains
29 juillet 2022