Gouvernance
4 mai 2024

Il est regrettable que le journalisme d’investigation n’existe plus au Burundi (PARCEM)

L’État devrait subventionner les médias pour qu’ils remplissent mieux leur mission. C’est ce que suggère l’ONG PARCEM. Dans une analyse sortie ce vendredi 3 mai, à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, la PARCEM fait remarquer des lacunes dans la communication des autorités, auxquelles il est suggéré d’être plus ouvertes pour informer la population. Faustin Ndikumana, directeur national de cette organisation, regrette également que les journalistes n’aient plus la liberté de mener des investigations.