Les femmes burundaises sont plus touchées par la pauvreté car plusieurs paramètres les freinent à obtenir de l’emploi que les hommes. Pour le mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité, cela est un obstacle majeur pour son développement et celui du pays en général. Les propos sont de Lise Baricako, membre de ce mouvement, dans le cadre de la chronique « Droits de la femme ». Le mouvement Inamohoro lance un appel au président Evariste Ndayishimiye de bâtir le pays sur un développement non exclusif et faire l’autonomisation de la femme sa priorité.