Le secrétaire général des Nations unies devrait s’impliquer personnellement pour rassurer les réfugiés burundais qui vivent en Tanzanie suite à l’insécurité liée aux menaces de rapatriement forcé. Ils sont persécutés par les autorités tanzaniennes de connivence avec le gouvernement burundais. C’est le contenu d’une lettre que la Coalition des défenseurs des droits de l’homme vivant dans les camps des réfugiés a adressée à António Guterres. Dans cette correspondance, la CBDH/VICAR lui rappelle la responsabilité de cette organisation en matière de la protection des droits humains. Léopold Sharangabo, vice-président de cette coalition, déplore que certains agents du HCR soient pointés du doigt d’être parmi ceux qui menacent ces Burundais de rentrer par la force.

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