C’est au mépris des droits humains que l’Union européenne a opté pour la levée des sanctions au Burundi. C’est ce qu’indique l’ONG Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT-France), dans un communiqué publié ce mercredi, au lendemain de la décision de l’UE de renouer la coopération avec le Burundi. Clément Boursin, responsable de la zone Afrique à l’ACAT-France, estime que la reprise de cette coopération n’a pas tenu compte de l’amélioration de la situation des droits de l’homme au Burundi.
Coopération
12 février 2022