La hausse du prix des produits pétroliers n’est pas une solution à la pénurie du carburant, mais plutôt une exploitation du citoyen burundais qui vit déjà dans la misère. Analyse de Gabriel Rufyiri, président de l’Observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques après la mesure de revoir à une hausse de près de 15% le prix d’un litre à la pompe. L’OLUCOME propose au gouvernement, de créer un bon environnement des affaires qui attireraient les investisseurs dans le secteur du carburant.