La constitution de 2018 donne au chef de l’Etat Burundais un important pouvoir d’arrêter la persécution des Burundais en général et aux militants de l’opposition en particulier. L’analyse est de l’ancien sénateur Emmanuel Nkengurutse. Ce politicien de l’opposition doute plutôt sur la volonté du chef de l’Etat de changer la politique du parti au pouvoir CNDD-FDD qui a érigé la persécution de l’opposition en mode de gouvernance. Il le dit au moment où les cas des disparitions forcées et d’arrestations arbitraires montent en flèche surtout les membres de l’opposition.
Droits humains
15 juillet 2021