Dans la chronique « Droits de la femme », aujourd’hui le mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité au Burundi, revient sur la culture burundaise comme handicap de l’épanouissement de la fille en la considérant comme inférieure au garçon. Marie Louise Baricako, présidente du mouvement Inamahoro, demande à tous les burundais de ne plus violer les droits des filles par cette mauvaise interprétation de la culture burundaise.