Les accusations du gouvernement burundais contre le Rwanda n’ont aucun fondement et ne constituent en aucune manière une raison pour fermer les frontières qu’il partage avec le Rwanda. C’est ce qu’indique le porte-parole adjoint du gouvernement rwandais, Alain Mukuralinda, lors d’une interview qu’il a accordée au journal local Kigali Today en fin de semaine dernière. Alain Mukuralinda révèle que les autorités burundaises gardent toujours des présumés auteurs du génocide des Tutsis de 1994 mais que cela n’a pas conduit à la fermeture des frontières. Pour lui, seule la voie du dialogue est efficace pour sortir de ces tensions.
Coopération
15 janvier 2024
