Le gouvernement du Burundi devrait libérer les défenseurs des droits de l’homme de l’association des femmes juristes du Burundi en détention depuis quelques jours à Mpimba. Demande adressée au président de la République par Gabriel Rufyiri, président de l’Observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques (OLUCOME) le 27 février. C’était à l’occasion de la Journée internationale des organisations non gouvernementales. Gabriel Rufyiri demande également qu’il y ait beaucoup plus de liberté pour toutes les associations, les défenseurs des droits de l’homme ainsi que pour les médias.
Droits humains
2 mars 2023