Il ne suffit pas de donner asile aux réfugiés, il faut aussi garantir leur sécurité et leur bien-être. Le Mouvement Inamahoro, femmes et filles pour la paix et la sécurité, interpelle le gouvernement de la République démocratique du Congo de veiller à la sécurité des réfugiés en général, et des femmes en particulier qui subissent fréquemment des viols par des bandes armées. Marie Louise Baricako le dit après des cris d’alarme des réfugiés suite à un meurtre et des menaces qui pèsent sur les femmes des camps des réfugiés de Lusenda. Elle attire l’attention de tout le monde pour éradiquer les violences faites aux femmes, surtout en cette période des 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes.