Le problème qui mine le Burundi n’est pas celui de la pénurie de carburant. C’est plutôt celui du manque des devises. Eclaircissement de Gabriel Rufyiri, président de l’Observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques (OLUCOME). Rufyiri dément ainsi les propos de Methusela Nikobamye, qui avait affirmé que la société qu’il représente, Gasen Petroleum, va importer du carburant en francs burundais. Pour Gabriel Rufyiri, l’une des solutions à ce problème des devises est que le gouvernement ose demander un crédit d’urgence à une institution financière internationale.
Economie
13 août 2022