La Commission Vérité et Réconciliation accuse les autorités civiles et militaires des années 1972, le parti UPRONA ainsi que la jeunesse du mouvement JRR affiliée à ce parti d’avoir trempé dans les massacres des Burundais de l’ethnie Hutu en 1972. Pierre Claver Ndayicariye, président de la CVR, invite les présumés auteurs des crimes de cette période à avoir le courage de demander publiquement pardon au peuple burundais.
Journal
10 septembre 2021