Les beaux discours des autorités burundaises, dont Evariste Ndayishimiye, ne sont que de façade. L’intolérance politique, la répression contre l’opposition et la société civile et la mauvaise gouvernance demeurent le mode de gestion du pays. C’est ce qu’indique Fortuné Gaétan Zongo, Rapporteur spécial sur les droits de l’homme au Burundi. Il l’a dit la semaine dernière devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève.
Droits humains
10 juillet 2023