L’annonce de Christophe Bazivamwo semble être en totale opposition avec la position des autorités burundaises. Le premier ministre Alain-Guillaume Bunyoni lui a répondu en disant qu’il ne faut pas aller à l’encontre de certains droits fondamentaux du peuple en imposant aux Burundais à faire des choses qui pourraient compromettre leurs libertés.
Journal
28 août 2021