Droits humains
11 novembre 2021

Les propos de Gélase Ndabirabe sur la succession des femmes violent la constitution

Les propos tenus par Daniel Gélase Ndabirabe, président de l’Assemblée nationale, concernant l’héritage des femmes sont contraires à la déclaration universelle des droits de l’homme que le Burundi a ratifiée et à la Constitution. Cette lecture est de Me Gustave Niyonzima, président du Collectif des avocats des victimes des crimes internationaux commis au Burundi (CAVIB). Gustave Niyonzima démontre que l’article 1 de la déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948 stipule que tous, hommes et femmes, naissent libres et égaux.