Les propos tenus par Daniel Gélase Ndabirabe, président de l’Assemblée nationale, concernant l’héritage des femmes sont contraires à la déclaration universelle des droits de l’homme que le Burundi a ratifiée et à la Constitution. Cette lecture est de Me Gustave Niyonzima, président du Collectif des avocats des victimes des crimes internationaux commis au Burundi (CAVIB). Gustave Niyonzima démontre que l’article 1 de la déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948 stipule que tous, hommes et femmes, naissent libres et égaux.
Droits humains
11 novembre 2021