Le Collectif des avocats pour la défense des victimes des crimes de droit international commis au Burundi rassure. Selon le CAVIB, les dossiers sur les disparitions forcées au Burundi suivent leur cours normal dans les juridictions internationales. L’organisation se dit confiante que tôt ou tard les auteurs finiront par répondre de leurs actes. Maitre Gustave Niyonzima, président de ce collectif, rappelle qu’il s’agit là des crimes qui ne sont ni amnistiables, ni prescriptibles.
Droits humains
1 septembre 2022