Le gouvernement burundais devrait plutôt penser à réunir les conditions de sécurité au pays pour favoriser le retour des réfugiés, au lieu de se moquer de leur calvaire dans les pays d’accueil. Propos du vice-président de la Coalition des défenseurs des droits de l’homme vivant dans les camps de réfugiés de la sous-région (CBDH/VICAR). C’est suite à la dernière sortie médiatique du ministre de l’Intérieur burundais affirmant que les réfugiés qui ne veulent pas rentrer au pays sont ceux qui veulent la réinstallation ou ceux qui ont plusieurs nationalités. Léopold Sharangabo demande un dialogue inclusif sur la question des réfugiés qui craignent pour leur sécurité.

• Twitter
• Facebook
• LinkedIn
• Pinterest
• E-mail
• WhatsApp