Le Burundi ne peut pas se développer tant qu’il y a des milliers de Burundais qui croupissent en prison injustement et plus de trois cent mille fils et filles du pays exilés. L’organisation de lutte contre la corruption et les malversations économiques alerte le chef de l’Etat dans une correspondance. Dans cette lettre, Gabriel Rufyiri, président de l’OLUCOME, demande au chef de l’Etat de libérer les prisonniers politiques et organiser une formation patriotique à leur intention. Il demande également au numéro un Burundais de créer des conditions favorables au retour des réfugiés.
Droits humains
17 août 2021