La recrudescence de la violence au Burundi ternit gratuitement l’image du pays. Estime Maître Janvier Bigirimana, secrétaire générale du FOCODE. Il indique que le discours des autorités qui stipule que la paix règne dans le pays alors que les violations des Droits de l’Homme continuent, risque d’être contre-productif car les bailleurs du Burundi comprendront que l’Etat est le véritable commanditaire des violences, et pourraient suspendre leurs aides.
Droits humains
25 juillet 2021