L’irruption brutale de la police dans la conférence de presse de l’OLUCOME et de la PARCEM illustre le début de l’exécution des menaces du ministre en charge de la sécurité. Gervais Ndirakobuca avait averti de sévir contre quiconque s’opposerait à sa décision d’accès au centre-ville de Bujumbura et ses environs. Des faits qui contrastent avec la récente déclaration du Chef de l’Etat qui avait affirmé que la liberté d’expression et de manifestation était garantie au Burundi.
Droits humains
15 mars 2022