La pandémie de Covid-19 a aggravé les conditions de vie des réfugiés Burundais : les violences conjugales, les grossesses massives des jeunes filles, la délinquance des jeunes qui se livrent à la drogue. C’est ce qu’indique Maître Immaculée Hunja, présidente du Mouvement des Femmes et Filles pour la Paix et la Sécurité au Burundi (MFFPS). Elle ajoute que le Covid-19 a été un choc pour les personnes qui avaient déjà des conditions de vie difficiles comme les réfugiés.