La condamnation à une peine de prison à perpétuité des personnalités accusées d’avoir participé à la tentative de coup d’Etat en 2015 a été un procès politique et non judiciaire. C’est l’analyse de Me Janvier Bigirimana. Il estime que la violation du principe sacro-saint de transparence dans la gestion d’un dossier pénal de façon même que les personnalités poursuivies n’ont pas eu l’accès au dossier pour qu’elles puissent se défendre, est une preuve que ce dossier est non judiciaire.
Journal
3 mars 2021