La ré-accréditation au statut A de la Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme du Burundi par le conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies prouve qu’il y a des enjeux politiques dans ce dossier, car le chaos qui règne toujours dans le pays ne justifie pas cette réhabilitation. Constat de Me Gustave Niyonzima, président du CAVIB. Pour lui, la CNIDH ne mérite pas le statut A alors que les disparitions forcées, les tortures ainsi que les assassinats ciblés sont toujours d’actualité au Burundi.
Droits humains
3 juillet 2021