Le Burundi est victime de complots de la part de certains pays qui ont fait des droits de l’homme une question purement politique. C’est ce que dénonce la ministre des Droits de la personne humaine. Imelde Sabushimike l’a déclaré pour rassurer que la Commission nationale indépendante des droits de l’homme du Burundi ne peut pas perdre son statut de commission indépendante au sein du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. C’était vendredi dernier, au cours d’une conférence publique animée par les membres du gouvernement burundais.
Droits humains
1 juillet 2024