De graves violations des Droits de l’Homme se poursuivent et l’espace démocratique reste fermé au Burundi, selon le rapport de la commission d’enquête des Nations Unies sur le Burundi. Au cours d’une conférence de presse animée par le président de la commission Doudou Diène, il a rappelé le rôle du conseil des droits de l’homme de l’ONU qui devrait dans l’avenir poursuivre la documentation des violences au Burundi par la même commission ou par un autre mécanisme. Malgré les difficultés auxquelles la commission s’est confrontée durant ses 5 années de mandat, Doudou Diène se réjouit du travail abattu.
Droits humains
17 septembre 2021