Droits humains
19 août 2021

Dossiers sur les disparitions forcées transmis à l’ONU par le CAVIB

Les propos des responsables du Burundi sur les cas de disparitions forcées constituent une pure négation pour protéger certains agents de l’Etat impliqués dans ces disparitions. Ils sont en effet au courant de tous les cas qui ont été présentés par le collectif des avocats pour la défense des victimes des crimes de droit international commis au Burundi devant le groupe de travail des Nations Unies qui s’intéresse aux crimes de disparitions forcées. C’est ce qu’indique Yves Runyagu, en charge des relations publiques et plaidoyer au sein du CAVIB.