L’association chrétienne pour l’abolition de la torture au Burundi (ACAT-Burundi) reste préoccupée par la non-application des décisions rendues publiques par les cours et tribunaux en ce qui concerne la libération des détenus politiques. Selon Me Jean Claude Ntiburumunsi, chargé du département juridique au sein de cette association, les prisons de Mpimba, Gitega et Muramvya sont les plus ciblées par ces détentions abusives. Me Jean Claude Ntiburumunsi demande au ministre de la justice de respecter les droits en libérant ces détenus.
Droits humains
1 août 2021
