Les arrestations intempestives des membres du parti CNL et certains ex-FAB qui s’observent au Burundi montrent que la justice ne fait pas des investigations poussées pour que les vrais auteurs des attaques récurrentes dans le pays soient arrêtés et punis. Ce sont les propos de Me Jeanne d’Arc Zaninyana, secrétaire générale du Mouvement des Femmes et Filles pour la Paix et la Sécurité au Burundi. Elle ajoute que ces arrestations sont plus politiques que judiciaires, tout en rappelant que c’est un droit de tout un chacun d’appartenir à un parti politique de son choix.
Journal
9 juillet 2021