L’organisation Action Chrétienne pour l’Abolition de la Torture (ACAT-Burundi) est profondément choquée par les violations de droits de l’homme que subissent les détenus. Cette organisation l’indique après l’échec de la mise en application de la grâce présidentielle ordonnant la libération de plus de 5000 détenus, selon le décret du 5 Mars 2021. Jean Claude Ntiburumunsi, chargé des questions juridiques au sein de l’ACAT-Burundi, dit que si la justice au Burundi faisait bien son travail, tous les détenus auraient droit à un procès équitable. ACAT-Burundi demande aussi à la ministre de la justice d’appliquer la décision du président.
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23 mars 2021