Les autorités burundaises devraient immédiatement et sans condition remettre en liberté les cinq défenseurs des droits humains et abandonner les charges sans fondement qui pèsent sur eux. L’appel est de trois organisations de défense des droits humains Amnesty International, l’Initiative pour les droits humains au Burundi et Human Rights Watch. Pour Rachel Nicholson, chercheuse sur le Burundi à Amnesty International, qui parle au nom de ces organisations, l’emprisonnement de ces défenseurs des droits humains témoigne d’une détérioration du contexte dans lequel évoluent les organisations de la société civile burundaise.

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