Au cours des quatre années du pouvoir d’Évariste Ndayishimiye, le domaine politique a fortement régressé au Burundi. Cela s’est matérialisé par le verrouillage de l’espace politique et le démembrement du parti CNL par le ministère de l’Intérieur, ainsi que par les militants de ce parti qui ont été tués, enlevés ou emprisonnés.
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20 juin 2024