Le monde entier célèbre ce 2 octobre la Journée internationale de la non- violence. L’ONG locale Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités constate malheureusement que les cas de violences sont légion dans la vie de tous les jours au Burundi. Cette organisation trouve que les causes de ce phénomène sont entre autres l’impunité, l’injustice et l’exclusion. Faustin Ndikumana, directeur national de la PARCEM, demande au gouvernement de mener une lutte sans merci contre ce fléau qui gangrène la société burundaise.
Droits humains
3 octobre 2023
