Les commerçants comme les consommateurs n’ont d’autre choix que de continuer d’utiliser les emballages de récupération puisque le gouvernement n’a pas prévu des emballages de substitution. Cela rentre dans le cadre de la mauvaise gouvernance du Burundi. Mamert Sabushimike, qui suit de près les questions de l’environnement au Burundi, regrette que le gouvernement ordonne la suppression des sachets et d’autres produits non-biodégradables, alors qu’il y a toujours des sociétés qui les produisent pour des intérêts de certaines personnalités du pays. Les commerçants comme les consommateurs n’ont d’autre choix que de continuer d’utiliser les emballages de récupération puisque le gouvernement n’a pas prévu des emballages de substitution. Cela rentre dans le cadre de la mauvaise gouvernance du Burundi. Mamert Sabushimike, qui suit de près les questions de l’environnement au Burundi, regrette que le gouvernement ordonne la suppression des sachets et d’autres produits non-biodégradables, alors qu’il y a toujours des sociétés qui les produisent pour des intérêts de certaines personnalités du pays. Mamert Sabushimike demande au gouvernement burundais de s’inspirer des expériences d’ailleurs, notamment dans les pays voisins comme le Rwanda et le Kenya qui ont réussi dans leurs projets de lutter contre les objets non-biodégradables. Il a été contacté dans le cadre de la synergie des médias Radio Inzamba, RPA ainsi que la Télé Renaissance. demande au gouvernement burundais de s’inspirer des expériences d’ailleurs, notamment dans les pays voisins comme le Rwanda et le Kenya qui ont réussi dans leurs projets de lutter contre les objets non-biodégradables. Il a été contacté dans le cadre de la synergie des médias Radio Inzamba, RPA ainsi que la Télé Renaissance.

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